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Les 4 Eoliennes sont prevues sur le point culminant le plus
haut de la commune;
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Protéger l’environnement d’Espeluche et des communes environnantes ; préserver les espaces naturels et les paysages de la Drôme provençale ; défendre l’identité culturelle des paysages ainsi que leurs intérêts économiques et sociaux ; lutter contre les atteintes qui pourraient être portées à cet environnement et notamment chaque fois qu’elles toucheront aux espaces naturels et aux paysages, aux équilibres biologiques auxquels participent les espèces naturelles et végétales, et par conséquence à la santé des habitants ; prévenir la dégradation des ressources naturelles.
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Le mécanisme de compensation des charges de service public de l'électricité (CSPE) DGEMP-DIDEME Mai 2004 Qu'est-ce que les charges de service public de l'électricité? Les charges de service public de l'électricité, telles que définies par l'article 5 de la loi du 10 février 2000 concernaient initialement : - les surcoûts résultant de l'obligation d'achat, par EDF ou les distributeurs non nationalisés, de l'électricité produite par certains types d'installations (éoliennes, photovoltaïque, cogénération…); - les surcoûts de production dans les zones non interconnectées telles que les départements d'outre-mer). Cet article a été modifié par la loi du 3 janvier 2003 qui a complété les définitions précédentes par : - les coûts résultant, pour les distributeurs d'électricité, de la mise en œuvre du tarif électrique " produit de première nécessité ", prévu par l'article 4 de la loi du 10 février 2000 ; - une partie des coûts supportés par les organismes de fourniture d'électricité en raison de leur participation financière au dispositif institué en faveur des personnes en situation de précarité. Que prévoyait la loi du 10 février 2002 en matière de compensation financières de ces charges ? L'article 5 de la loi du 10 février 2000 , dans sa rédaction initiale, a institué un fonds du service public de la production d'électricité (FSPPE), alimenté par des contributions dues par les fournisseurs d'électricité pour les kilowattheures livrés à des consommateurs finals, par les auto-producteurs pour une part de leur consommation d'électricité et par les consommateurs finals effectuant des importations d'électricité. Ce système est entré en vigueur le 1er janvier 2002 à la suite de la publication du décret n° 2001-1157 du 6 décembre 2001 relatif au FSPPE. Quelles sont les dispositions nouvelles prévues par la loi du 3 janvier 2003? Outre la compensation des charges de production, le nouveau dispositif du I de l'article 5 de la loi du 10 février 2000 modifiée intègre dans l'assiette de compensation les dispositions relatives aux "aspects sociaux". Il met également en place des mécanismes simplifiés de recouvrement des charges. Comment fonctionne le nouveau système de compensation des charges de service public de l'électricité ? Une assiette de contribution unique, basée sur la consommation d'énergie livrée au client. Le nouveau système instaure une assiette unique de contribution : la consommation finale d'électricité. Ce changement d'assiette n'a pas de conséquence sur le coût supporté par le consommateur final non éligible, dans la mesure où la mise en œuvre du nouveau dispositif s'est traduite, au 1er janvier 2003, par une baisse équivalente des tarifs intégrés de vente de l'électricité. Pour les clients éligibles, la contribution versée par les fournisseurs a vocation, quant à elle, à être répercutée dans le prix de vente de l'électricité. Cette nouvelle définition de l'assiette de contribution s'accompagne de la mise en œuvre d'un système de recouvrement simplifié, effectué par les gestionnaires de réseaux ou par les organismes de fourniture d'électricité. Ceci s'applique : - auprès des clients éligibles sous la forme d'un prélèvement additionnel aux tarifs d'utilisation des réseaux; - auprès des clients non éligibles sous la forme d'un prélèvement additionnel sur la facture d'électricité. Ce nouveau type de prélèvement concerne la grande majorité des consommateurs finals d'électricité qui sont alimentés par les réseaux publics de transport et de distribution d'électricité. Un système déclaratif a toutefois été conservé pour les auto-producteurs d'électricité et pour les quelques consommateurs finals qui ne sont pas alimentés par l'intermédiaire des réseaux publics d'électricité. Le nouvel article 5 de la loi du 10 février 2000 institue un encadrement de l'évolution du montant des charges, ainsi qu'un plafonnement de la contribution par site de consommation. L'encadrement de la contribution unitaire par kilowattheure est fixé à 7 % du " tarif bleu 6 kVA ", ce qui correspond actuellement à un plafonnement de la contribution unitaire à 0, 5355 centime d'euro par kilowattheure. Il s'agit là d'un maximum qui est à comparer au 0,45 centime d'euro de contribution fixé en 2004. Par ailleurs, le montant de la contribution due, par site de consommation, a été plafonné à 500 000 euros. Il est en effet apparu que la stricte proportionnalité de la contribution qui prévalait avec le mécanisme, du FSPPE, constituait une charge extrêmement pénalisante en termes de compétitivité, notamment internationale, pour les industries grosses consommatrices d'électricité. Cette mesure devrait concerner environ 150 sites de consommation. Le décret n° 2004-90 du 28 janvier 2004 relatif à la compensation des charges de service public de l'électricité précise les modalités de fonctionnement du dispositif de la CSPE. Il abroge le décret n° 2001-1157 du 6 décembre 2001. © Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, DGEMP, 06/05/2004 Cette nouvelle définition de l'assiette de contribution s'accompagne de la mise en œuvre d'un système de recouvrement simplifié, effectué par les gestionnaires de réseaux ou par les organismes de fourniture d'électricité. Ceci s'applique :- sous la forme d'un prélèvement additionnel aux tarifs d'utilisation des réseaux;- sous la forme d'un prélèvement additionnel sur la facture d'électricité.Ce nouveau type de prélèvement concerne la grande majorité des consommateurs finals d'électricité qui sont alimentés par les réseaux publics de transport et de distribution d'électricité. Un système déclaratif a toutefois été conservé pour les auto-producteurs d'électricité et pour les quelques consommateurs finals qui ne sont pas alimentés par l'intermédiaire des réseaux publics d'électricité.Le nouvel article 5 de la loi du 10 février 2000 institue un de l'évolution du montant des charges, ainsi qu'un de la contribution par site de consommation.L'encadrement de la contribution unitaire par kilowattheure est fixé à 7 % du " tarif bleu 6 kVA ", ce qui correspond actuellement à un plafonnement de la contribution unitaire à 0, 5355 centime d'euro par kilowattheure. Il s'agit là d'un maximum qui est à comparer au 0,45 centime d'euro de contribution fixé en 2004.Par ailleurs, le montant de la contribution due, par site de consommation, a été plafonné à 500 000 euros. Il est en effet apparu que la stricte proportionnalité de la contribution qui prévalait avec le mécanisme, du FSPPE, constituait une charge extrêmement pénalisante en termes de compétitivité, notamment internationale, pour les industries grosses consommatrices d'électricité. Cette mesure devrait concerner environ 150 sites de consommation. relatif à la compensation des charges de service public de l'électricité précise les modalités de fonctionnement du dispositif de la CSPE. Il abroge le décret n° 2001-1157 du 6 décembre 2001. |