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Texte libre

 
          
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Association : VENTS LIBRES SUR NOS COLLINES.
Activité : Défense de l'environnement
No de parution : 20050048
Département (Région) : 26 - Drôme (RHONE-ALPES)
Courriel : ventsdescollines@laposte.net
  Date de la déclaration : 7 novembre 2005.
 Pour ceux qui veulent en savoir plus

sur Espeluche:

http://www.genea26provence.com/droite133.html

 

Photo Vue du ciel!!:

http://city.zorgloob.com/?ville=9478&lib=ESPELUCHE

Météo du coin

Prévisions:

http://www.tv5.org/TV5Site/meteo/meteo-ville-76-537.htm

 

 

 

 

 

 

Copyright Michelin 2004

 

 

 

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 08:42

2 délibérations ont été votées :


1) Fixation du tarif des plaques funéraires pour le columbarium : 40€

 

2) Modification du budget 2013

 

Questions et informations diverses :


- Une discussion est menée concernant l'utilisation d'une subvention du conseil général en vue d'asphalter le chemin du moulin.


- GDF devrait installer des nouveaux compteurs chez tous ses abonnés afin d'effectuer  un relevé automatique. Un émetteur récepteur serait installé à cet effet sur un point haut du village. Le coût pour l'abonné serait de 2 €/mois.


- Un plan du projet d'aménagement du lotissement des platanes (le long de la route de Montélimar) est présenté au conseil municipal.


- Le conseiller municipal représentant la commune au syndicat des eaux informe que le contrat de sous traitance de la distribution d'eau n'a pas fait l'objet d'un appel d'offre depuis 1980. Légalement, il y a nécessité d'y avoir recours.

   Par ailleurs, la pompe du forage de Piérougier ne fonctionne plus.  Il est prévu de retirer cette pompe et toute sa tuyauterie à l'aide d'une grue afin de déterminer la cause de la panne.  Le coût d'une telle pompe est de 26 000 Euros.

 

- Une conseillère municipale, riveraine du chemin des Condamines, demande quelles sont les raisons des travaux entrepris par la commune au bas du chemin des Condamines (le chemin a été élargi sur un fossé). Monsieur le Maire et son adjoint aux travaux expliquent que le chemin empiéterait de 2 mètres sur le terrain d'un riverain et que les engins agricoles prenant ce virage empiéteraient également sur ce terrain. Après vérification du cadastre, le chemin ne semble en aucune manière empiéter sur celui du terrain voisin. En se rendant sur place, on se rend compte pourtant que les poubelles qui ont été installées sur ce croisement il y a quelques mois ont compliqué les manoeuvres des véhicules agricoles sur la surface asphaltée. Une concertation avec les utilisateurs de ce carrefour aurait peut-être évité ces travaux supplémentaires.

 

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10 décembre 2013 2 10 /12 /décembre /2013 16:29

      

       Pour appeler les élus à leur responsabilité concernant la sécurité routière et leur rappeler leurs promesses, des riverains de la route d'Espeluche se mobilisent.

     Nous nous réjouissons de l'annonce faite par l'adjoint à l'urbanisme de Montélimar concernant l'attribution dans les prochains jours du marché pour la construction du giratoire entre la route d'Espeluche et le boulevard des présidents. C'est le signe qu'une mobilisation citoyenne est nécessaire et efficace pour garantir la sécurité publique.

        Nous attendons maintenant de connaître le calendrier des travaux.


dauphiné 10-12-13

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 07:53

 

        Comme nous le remarquions concernant les parcs éoliens de Rochefort-en-Valdaine et de Montjoyer, le 3ème parc situé sur le plateau des Claves serait-il en train de vieillir prématurément ?

        En effet, sur les mâts et sur les pales de certaines éoliennes on constate des coulures noires attestant de fuites d'huile.

 

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 09:05

 


Un parc d'éoliennes à Dunkerque.

 

Des opposants à l'énergie éolienne font la chasse aux maires qui ont voté l'installation de parcs sur leur commune tout en étant propriétaires des parcelles, ce qui rapporte aux élus concernés plusieurs dizaines de milliers d'euros par an.

 

       Un tremblement de terre dans l'éolien. C'est ce qui menace la filière, déjà prise dans la tempête avec l'opposition croissante et de plus en plus organisée des Nimby, ces riverains qui contestent un projet local d'intérêt général dont l'acronyme signifie « Not In My BackYard » (pas dans mon arrière-cour). Après la multiplication des recours en justice contre les projets de construction et même l'obtention, récemment, en première instance, de la démolition d'un parc dans le Nord pour nuisances malgré sa parfaite légalité administrative, les Nimby vont aujourd'hui un cran plus loin.

       À la veille des élections municipales, ils dégainent une autre arme : la chasse aux maires qui, juge et partie, ont voté l'installation de parcs éoliens sur leur commune tout en étant propriétaires de parcelles qu'ils louent aux opérateurs éoliens. Des baux allant de vingt à trente ans en moyenne, pouvant rapporter à l'élu jusqu'à 100.000 euros annuels dans ses caisses personnelles. Et ils sont nombreux, maires, présidents de communauté de communes (CDC) ou conseillers municipaux - à en juger les dossiers consultés par Le Figaro - à s'exposer au conflit d'intérêt, prise illégale d'intérêt et recel de prise illégale d'intérêt visés par les articles 432-12 du Code pénal et l'article 2131-11 du Code général des collectivités territoriales.

       Le fait, pour un élu, « de recevoir (…) directement ou indirectement, un intérêt quelconque (…) dans une opération dont elle a, au moment de l'acte (…), la charge d'assurer la surveillance, l'administration, la liquidation ou le paiement, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75.000 euros d'amende », dit le Code pénal. Pour autant, le statut d'élu n'interdit pas en soi tout contrat ou bénéfice personnel lié à une installation sur sa commune. Seulement, l'élu doit le générer dans un cadre strictement privé, hors sa qualité de maire et, lors de l'exercice de ses fonctions, ne pas participer aux votes ni délibérations sur le projet, affirme le Code général des collectivités territoriales.

       Mais pas seulement… Toute influence en amont aussi, comme le simple fait de « proposer, préparer, présenter des rapports ou avis, en vue de décisions prises par d'autres personnes mais qui lui bénéficient », affirme un juriste, auteur au Dalloz. Du pain bénit pour les citoyens réfractaires aux parcs éoliens, qui se mettent à multiplier poursuites pénales et procédures administratives, galvanisés par les lobbies comme Vent de Colère qui leur adressent des « notes d'action », mode d'emploi et argumentaire juridique à l'appui.

       Un élu du Pas-de-Calais gagne 108.000 euros par an pour les 10 mâts installés sur son terrain.

      Un cas emblématique s'apprête à faire du bruit dans le Landerneau. Jeudi dernier, le parquet d'Arras a été saisi pour poursuivre le maire d'une petite commune du Pas-de-Calais, propriétaire de terrains où 5 éoliennes, sur un parc de 10, sont implantées depuis 2007, après un vote favorable du conseil municipal. La dénonciation de « prise illégale d'intérêt, délit continu, tentative, recel et complicité de recel» émane de ce couple de châtelains, médiatisé le 17 septembre dernier pour avoir obtenu la démolition du parc entier (nos éditions du 14 octobre 2013). Rarissime, cette décision avait été remarquée, même si ce jugement de première instance fait aujourd'hui l'objet d'un appel de la part de l'opérateur, la Compagnie du Vent (GDF Suez).

       Avec une rentabilité de 900 euros mensuels par éolienne, l'élu visé par la requête au procureur gagne 54.000 euros par an. Si le P.V. de délibérations du conseil municipal atteste bien qu'il a quitté la salle juste avant le vote d'implantation du projet, il notifie aussi que c'est après avoir pris soin d'exposer tout « l'intérêt des énergies renouvelables, la situation géographique, les intérêts financiers pour la commune et la communauté de communes ». « Il est quand même singulier de constater le nombre impressionnant de maires qui, comme par extraordinaire, se retrouvent du jour au lendemain bailleurs de promoteurs éoliens pour leur seul profit, s'étonne Me Philippe Bodereau, avocat du couple. Aussi est-il grand temps que l'hypocrisie tombe enfin. »

       Dans une commune voisine, un autre parc éolien de 10 mâts rapporte 108.000 euros annuels à un autre élu. Les mêmes cas sont observés en Bretagne, en Basse-Normandie, en Haute-Loire, dans les Ardennes, les Deux-Sèvres ou encore l'Hérault où des enquêtes préliminaires ont été ouvertes ces mois derniers. Si bien que certaines associations réclament « un audit national de tous les projets où les élus sont impliqués personnellement », à l'instar de Fabien Bouglé, président de Défense de l'Environnement de la région de Briouze et Rânes, dans l'Orne. Les opérateurs éoliens pourraient quant à eux, dans certains cas, être poursuivis pour complicité. Parfois, le bail privé de l'édile est « la condition sine qua non pour qu'il donne son accord au projet d'installation », avoue l'ingénieur d'une grande compagnie d'énergie qui a assisté à ces tractations.

       Pour ces maires flirtant avec les baux juteux de l'éolien, des condamnations ont déjà été prononcées. En juillet dernier, à Ally (Haute-Loire), la maire et deux conseillers municipaux ont été condamnés à une peine de quatre mois d'emprisonnement avec sursis et à une amende délictuelle de 8000 euros. L'an passé, c'est une élue de Saint-Georges-d'Annebecq, dans l'Orne, qui, dans le cadre d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, a dû verser 1000 euros d'amende. Au départ, douze autres élus étaient visés par l'enquête préliminaire. Mais malgré l'infraction attestée, les faits ont été jugés prescrits par le procureur.

        À l'association des maires de France (AMF), c'est le silence radio sur le sujet malgré les nombreuses relances.

 

Alors que l'office de police de l'Union européenne vient de dévoiler que le secteur de l'éolien est totalement infiltré par le crime organisé - notamment après la saisie de 1,3 milliard d'actifs éoliens à la mafia calabraise -, la tempête judiciaire vient fragiliser encore la filière et ternir son image d'énergie propre.

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15 novembre 2013 5 15 /11 /novembre /2013 08:36

Parc éolien de Rochefort-en-Valdaine :

 

Au pied de l'éolienne E5, les pales qui ont été  changées il y a plus d'un an sont toujours là.

 

E5-1.JPG

 

Le mât de l'éolienne E8, tâché de coulures, montre clairement que des quantités importantes d'huile fuient par sa nacelle.


E8-1.JPG

 

E8-2.JPG

 

L'éolienne E9 est restée en l'état suite à l'accident du 19/09/2010. Les débris traînent toujours sur le sol.

 

E9-2.JPG

 

E9-3.JPG

 

Sur le bord du chemin communal, les 3 containers qu'on a vu arriver en mars 2011 sont toujours là, donnant à notre coin de campagne un air de zone industrielle sinistrée. 

On aperçoit en arrière-plan la nacelle calcinée de l'olienne n° 9. Il y a 2 ans et demi nous croyions que ces containers étaient destinés à son démantèlement. 

E10-1.JPG

 

Depuis le temps a passé, et en s'approchant de ces containers ouverts aux quatre vents, on comprend mieux pourquoi personne ne s'en soucie. Compte tenu de leur état de corrosion, peut -être ne sont-ils plus en état d'être utilisés nulle part.

Ci-dessous, une charnière de porte (on comprend que ces containers ne manquent à personne) :

 

 E10-3.JPG

 

Au pied de l'éolienne E12, accidentée en février 2011, les pales changées à cette occasion sont abandonnées sur place. Prendrait-on notre environnement pour une poubelle ?

 

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Le morceau de pale cassé est toujours bloqué contre un arbre :

 

E12-3.JPG

 

L'éolienne E13 présente également des coulures d'huile sur son mât :

 

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Parc éolien de Montjoyer :


Les éoliennes E15; E16 et le moignon de l'éolienne E17 situées à l'entrée du parc ne fonctionnent plus depuis le 19 septembre 2010.

 

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Au pied de l'éoliennes E16, les débris continuent de tomber de la nacelle calcinée :

 

E16-1.JPG

 

Les fibres de matériaux composites, sur les bords du chemin refusent obstinément de disparaître d'eux-mêmes :

 

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Tout cela n'inspire pas beaucoup de civisme aux promeneurs et autres chasseurs :

 

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 16:12

        Durant le mois d'octobre s'est déroulée l'enquête publique concernant le projet de gazoduc reliant Saint-Martin de Crau (Bouches du Rhône) à Saint-Avit (Nord de la Drôme). Un dossier technique ainsi qu'un cahier étaient mis à disposition du publique dans chacune des communes traversée.

        La presse locale a relayé ces derniers mois les oppositions que suscitent ce projet dans les communes traversées. 

       Rappelons que ce projet porté par l'entreprise GRTgaz consiste en l'enfouissement de canalisations de 1,2 mètres de diamètre sur une distance de 220 km.

       Certains opposants au projet s'inquiètent du fait que cette infrastructure située à proximité des zones de gisements potentiels de gaz de schistes ne soit une façon d'avancer sur le projet du gaz de schiste en s'occupant d'ores et déjà de son acheminement.

       Ci-dessous la carte du tracé sur notre commune :

      On voit que sur la commune d'Espeluche le gazoduc passe essentiellement entre l'autoroute et la ligne TGV 

 

Légende


pointillés rouge : le tracé de du gazoduc

trait continu rouge : autoroute A7

trait continu jaune : limites communales

trait noir coupé de petits traits : ligne TGV

 

GAZODUC.JPG

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 20:36
Un accident mortel est survenu mardi 29 octobre en Hollande au sommet d’une éolienne Vestas (fabricant danois). Les victimes travaillaient dans la partie supérieure de l’éolienne, ce mardi 29 octobre 2013.

- « Pour des raisons inconnues, le feu a pris au sommet de l’éolienne », a déclaré dans un communiqué la police néerlandaise dans la ville d’Ooltgensplaat. Les deux jeunes mécaniciens vérifiaient les éoliennes, après une forte tempête lorsque le feu a éclaté.

- « J’ai vu deux mécaniciens qui étaient assis sur le bout de la turbine, quand, soudain, il y eut une épaisse fumée noire. La turbine a commencé tourner, les mécaniciens se sont mis à crier, alors que les deux parties de l’éolienne fléchissaient », a expliqué Cornelis Moss Elman à la chaîne de télévision RTV Hollande.

- « Il y avait beaucoup de panique, personne ne savait comment résoudre la situation », a-t-il dit. Immédiatement après que ce sinistre se soit produit, les services d’incendie sont arrivés. Mais parce que le feu avait eu lieu dans la partie supérieure de l’éolienne, il n’y avait plus grand’chose à faire. C’est pourquoi les premiers pompiers n’ont pu accéder au sommet de l’éolienne, que mardi soir à l’aide d’une grande grue.

- « C’est là qu’ils ont trouvé les restes des personnes disparues », a décrit la police dans un communiqué de presse.

Les deux jeunes mécaniciens qui travaillaient dans l’entreprise, faisaient partie d’une équipe de la société Bettink. Les deux hommes étaient à peine âgés de 19 et 21 ans. Les autorités néerlandaises étudient actuellement la cause de l’accident à l’usine, pour ce modèle Vestas V66 -1,75 MW. Même si la turbine n’est plus sous la responsabilité de Vestas, le fabricant danois d’éoliennes a offert d’apporter son concours à l’enquête.

Pour l’information du lecteur, les nacelles d’éolienne contiennent de 500 à 600 litres d’huile. Ce dramatique accident, nous démontre une fois de plus, que les éoliennes font courir des risques graves, et les écologistes feront tout pour prétendre que c’est un accident isolé.

 

Jacques d’Éville

Source : www.lepeuple.be


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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 07:30

La Compagnie du Vent, poursuivie par un couple, a quatre mois pour retirer ses éoliennes et doit lui verser 37.500 euros. Une décision rare.

A la lutte du pot de fer contre le pot de terre, c'est le second qui, cette fois, a gagné. Un couple d'habitants du Nord-Pas-de-Calais vient de vaincre un goliath de l'énergie éolienne qui avait planté ses géantes autour de sa propriété du XVIIIème siècle, le château de Flers, classé monument historique. La Compagnie du Vent, appartenant au groupe GDF-Suez, vient d'être condamnée en première instance par le TGI de Montpellier à démolir 10 de ses éoliennes dans un délai de quatre mois, après quoi une amende de «500 euros par jour de retard et par éolienne» sera exigée. La société doit également indemniser 37.500 euros au couple pour le préjudice subi depuis juin 2007, date de mise en service du parc éolien sur les deux sites voisins de la propriété, à Conchy-sur-Canche et à Boubers-sur-Canches. Les époux, qui avaient acheté leur propriété en 1993, avaient multiplié les recours, sans succès.

«Cette décision est très importante car elle montre à tous ces gens qui supportent les éoliennes avec un sentiment d'impuissance que la lutte n'est pas vaine, même face aux grands groupes ou aux autorités qui délivrent des permis de construire, que le recours est ouvert à tout le monde, qu'on a le droit de vivre en paix, qu'on peut faire autrement que subir», réagit Me Philippe Bodereau, avocat des plaignants. Et cela sans distinction de la valeur du bien, à en croire le jugement, du château classé à la simple maisonnette. En effet, le caractère patrimonial et historique n'a pas compté pour le tribunal qui a retenu des «critères de nuisance» plus tangibles: un préjudice esthétique «de dégradation de l'environnement résultant d'une dénaturation totale d'un paysage bucolique et champêtre», dit le jugement, un préjudice auditif «dû au ronronnement et sifflement des éoliennes», et enfin un préjudice d'atteinte à la vue «dû au clignotement de flashes blancs ou rouges toutes les deux secondes, de jour et de nuit». Pour le tribunal, «le caractère tout à fait inhabituel, permanent et rapidement insupportable crée un préjudice dépassant les inconvénients normaux de voisinage, constituant une violation du droit de propriété».

Les litiges se multiplient

Cette décision de justice est rare. Pas tant pour ses arguments, en faveur de riverains, que par le fait que ces contentieux n'arrivent presque jamais devant les tribunaux. «Ces procès sont marginaux par rapport au nombre de parcs éoliens existant en France, commente Me Gilles Gassenbach, avocat de la Compagnie du Vent. Car pour installer de tels sites, un gros travail en amont, avec des études d'impact, est toujours réalisé en concertation avec les autorités et les habitants».

Pourtant, on le sait, les litiges se multiplient ces dernières années avec les riverains qui se constituent de plus en plus en collectifs de citoyens, dressés vent debout contre ces «cimetières éoliens», «véritables saccages paysagers», décrient les associations. Les avocats habitués de ces dossiers apportent la réponse: «ces conflits se résolvent le plus souvent par accord amiable», confie l'un d'eux. Autrement dit, «une indemnisation», dit d'expérience Me Gassenbach. «Je ne connais pas d'exemple en France où une démolition a été ordonnée et suivie d'effets», dit-il en rappelant que c'est un jugement de première instance et que la Compagnie du Vent a interjeté appel.

En 2010, la même société avait déjà été condamnée à démolir quatre éoliennes près de Narbonne, «sous astreinte de 1000 euros par jour de retard et par éolienne passé le délai d'un mois», après le recours en justice de quatre propriétaires agricoles, et à leur payer une indemnisation de 430.000 euros. L'appel de la condamnation avait été interjeté mais un accord amiable avait finalement mis un terme à la procédure.

«Nos projets concourent à l'intérêt général, comme le veut le Grenelle de l'environnement, et non aux intérêts particuliers, commente le président de la Compagnie du Vent, Thierry Conil. Mais c'est le propre de la démocratie que de permettre des recours». Les deux sites visés par la démolition représentent un investissement de 20,04 millions d'euros et produisent un total de 38 millions de kilowattheures par an, soit la consommation de 22.000 personnes. A l'instar d'autres opérateurs, la société de GDF-Suez compte doubler sa production d'ici 2018 et, pour ce faire, multiplier par deux son parc éolien qui compte aujourd'hui 21 sites. Et «collectionner les contentieux», promettent les anti-éoliens.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 07:19

La-Tribune-05-09-13.jpg

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 16:01

Les délibérations suivantes ont été votées :


1) Une subvention de 110€ est accordée à l'association « Espeluche pétanque »

2) Une subvention de 50€ est accordée à l'association « les Restaurants du Cœur »


3) Modification du budget 2013.


4) Suite à l'avis favorable du commissaire enquêteur, la modification du PLU est votée. Mr le maire signale qu'un permis d'aménager a déjà été déposé par un promoteur pour une partie de la zone Auo.


5) Tarifs de location: Bancs : 0,5 € par banc

Petite salle de la salle des Fêtes : 200 €/an à raison de 1h30/semaine.

6) L'ONF et le SDIS demandent à la commune d'entretenir la citerne de Montceau : coût de l'opération 1200 € dont 80% à la charge de la Sésame et 20% à la charge de la commune.


7) Augmentation du prix du ticket de cantine scolaire : celui-ci passe de 3,30 € à 3,35 €.

 
8) Dissolution du SIEP : Le conseil municipal approuve les conditions de liquidation financière du SIEP présentées par le comité syndical


9) Révision statutaire du SDED :Un projet de modification des statuts est soumis au Conseil Municipal qui l'approuve ; deux électeurs sont désignés pour les prochaines élections au Comité Syndical du SDED : Marie-Pierre PIALLAT et Alain GUILLEN.


10) Suite à la fusion des 11 syndicats d'irrigation de la Drôme, la commune accepte les statuts du nouveau syndicat.


11) Représentativité des communes à la SESAME :


12) Le Conseil Municipal se prononce en faveur de la prorogation du mandats des conseillers communautaires jusqu'aux élections de mars 2014, puis d'une représentativité particulière à compter du renouvellement des conseils municipaux ; pour Espeluche (commune entre 1000 et 3000 habitants) ce sera 2 délégués et pour Montélimar environ 46.

 

Infos et questions diverses :


* Mr le maire informe que les toilettes du stade de foot sont bouchées et que l'on ne sait pas quel est le système d'assainissement existant. Il est question de relier ces toilettes au réseau d'assainissement collectif en utilisant une pompe de relevage dont le coût estimatif serait de 12 000 €.


* Nous informons Mr le maire et son conseil de faits qui seraient survenus sur le terrain du futur lotissement du "Bosquet". 


* Sur notre demande, Mr le maire nous informe qu'il a fait suivre à la DDT(Direction Départementale des Territoire)  la demande de permis d'aménager pour l'installation de caravanes sur le terrain de l'ancien gîte du "Mas Bohème".

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