Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Texte libre

 
          
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Association : VENTS LIBRES SUR NOS COLLINES.
Activité : Défense de l'environnement
No de parution : 20050048
Département (Région) : 26 - Drôme (RHONE-ALPES)
Courriel : ventsdescollines@laposte.net
  Date de la déclaration : 7 novembre 2005.
 Pour ceux qui veulent en savoir plus

sur Espeluche:

http://www.genea26provence.com/droite133.html

 

Photo Vue du ciel!!:

http://city.zorgloob.com/?ville=9478&lib=ESPELUCHE

Météo du coin

Prévisions:

http://www.tv5.org/TV5Site/meteo/meteo-ville-76-537.htm

 

 

 

 

 

 

Copyright Michelin 2004

 

 

 

Recherche

22 novembre 2006 3 22 /11 /novembre /2006 17:14

AMIENS
20 nov 2006

AMIENS : COLLOQUE ADEME
la Présidente de l'ADEME n'a pas le moral?
un bilan en demi-teinte
L'éolien ( 0, 2% de l'électricité produite en France est, et restera marginal.
Une opposition croissante se manifeste
http://www.journaldelenvironnement.net/fr/index/uneThematique.asp?idThema=6

 

Eolien: un bilan en demi-teinte20/11/2006 14:15Malgré une forte progression des mises en service, l'an passé, l'éolien reste et restera marginal dans la production d'électricité française

Journal de l'Environnement

De l'aveu même de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), la France n'atteindra pas son objectif de 2010. De nombreuses causes expliquent cet échec. Exemple choisi. Le cinquième colloque national éolien, qui se déroule à Amiens jusqu'au 18 novembre, devait être celui des bonnes nouvelles. Cela a été vrai, en partie. Dans l'auditorium de la Mégacité d'Amiens, la présidente de l'Ademe a confirmé, jeudi matin, un nouveau décollage de l'éolien français. "On était à 1.337 mégawatts (MW) fin octobre et on terminera 2006 à 1.500 MW. Cela fait deux ans de suite qu'on double" la puissance installée du parc français, composé actuellement d'un millier d'éoliennes, a-t-elle souligné.Certes, mais le poids d'Eole dans la production électrique française est marginal. L'an passé, les aérogénérateurs ont produit un peu plus de 1 térawattheure (TWh), soit 0,22% de la consommation intérieure de courant. Et même dans la catégorie des énergies renouvelables (ENR), le boxeur du vent reste un poids mouche: il pèse à peine 1,9% des électrons produits par les barrages français. Le problème, c'est que cette situation ne devrait pas grandement s'améliorer. Ce n'est pas une surprise, mais la France ne tiendra pas son objectif de 10.000 MW pour 2010. La nouveauté réside seulement dans l'acceptation de cet échec par les pouvoirs publics. "On arrivera à 10.000 MW après 2010", espère la présidente de l'Ademe.Pour l'horizon 2010, ce sera plutôt "entre 5.000 et 7.000MW", avance-t-elle. A quelles causes imputer un tel ratage? A l'évidence, celles-ci sont nombreuses. L'opposition de riverains ou d'associations spécialisées dans le contentieux éolien, la pusillanimité de certains industriels français, le manque de célérité dans le traitement des dossiers par certains services déconcentrés de l'Etat, une hostilité à peine voilée de certains acteurs majeurs du marché hexagonal de l'électricité. Certes, tous ces éléments existent, mais cela reste insuffisant.Faut-il alors montrer du doigt certains niveaux élevés de l'administration? Pas impossible. Un seul exemple: le très gros projet de parc offshore dit des "Deux côtes". En marge du colloque éolien, le président de la Compagnie du vent n'a pas caché son désarroi face au manque de considération administrative dont "bénéficie" son projet de parc offshore. Jean-Michel Germa, dont l'entreprise vient de déposer sa demande d'occupation du domaine maritime, prévoit de mettre en service, à l'horizon 2012, 156 turbines de 4,5 MW chacune. "C'est un investissement de 1,4 milliard d'euros, qui va créer 2.000 postes localement pendant trois ans, et personne au sein des administrations ne semble s'y intéresser vraiment", déplore Jean-Michel Germa. "Nous avons demandé à voir les ministres en charge de l'équipement, de l'environnement et de l'industrie, les préfets de la Somme et de la Seine-maritime et personne ne veut nous recevoir."

Partager cet article
Repost0

commentaires